La passion pour les jeux de société

La France est-elle entrain de vivre une révolution en matière de jeux de sociétés ?

Déjà en 2012, le secteur connaissait un tournant principal marqué par le début d’année ludique. Dès lors, les éditeurs se voient confronter à la révolution du web 2.0 et par conséquent le choix de s’adapter à ce nouvel environnement s’impose. D’où la nécessité de mettre en place des systèmes de distribution efficaces, des espaces d’informations et de divertissements tels que les salons, festivals, week-ends de jeux ludiques etc.

Une révolution pour les créateurs et éditeurs

Aujourd’hui, avec le développement de web 2.0, les créateurs de jeux peuvent désormais sur simple petite annonce en ligne rentrer en contact avec des éditeurs, de quoi éviter les disputes sur « qui est l’inventeur de tel ou tel jeu ». Seront les perdants, ceux qui ne sauront s’adapter à cette nouvelle révolution en marche. Alors, à vos crayons et papiers pour inventer de nouvelles idées de jeux de sociétés.

 

Le jeu Folix… un succès revendiqué par deux parrains ?

Une invention mystère !

Avez-vous lu l’article publié par le journal le Parisien autour de l’invention du jeu de société à succès, qui n’est autre chose que le jeu Folix ? J’ai lu avec attention cet article ! Cette affaire est compliquée, tout comme le droit de la propriété intellectuelle.

En regardant de près et avec un peu de recul, on remarque que, celui qui se dit le vrai inventeur de ce jeu n’a porté plainte qu’après son succès commercial. Vous allez me dire, c’est tout à fait normal, mais je pense qu’il y a des véritables questions à se poser, à savoir, à qui profite cette affaire portée devant la cour d’appel d’Aix-en-Provence ?

 En fait, il y a quelques années, le prétendu inventeur du jeu folix, avait présenté sa seule invention sous les noms de « Math et Magic » au festival international des jeux de Cannes, mais il sombre dans l’oubli, (Journal Le parisien, publié le 22/12/2011) . C’est alors, quelques mois plutard qu’il découvre le jeu folix à succès et décide de porter plainte afin d’avoir sa part de gâteau en prétendant que ce dernier est la reprise de son idée.

 

Une affaire… qui fait durer le suspens !

Si l’inventeur de Folix, Alain ANATON qui comptabilise à son actif 14 jeux commercialisés fut condamné par la première chambre civile du tribunal de Marseille, il a fait appel.

J’espère que cette affaire sera enfin réglée pour qu’Alain Anaton puisse consacrer son temps et son énergie à nous imaginer d’autres idées de jeux plus amusantes et instructives.